Aklatan Capitaine des Plaines
Messages : 483 Date d'inscription : 04/07/2008 Age : 111 Localisation : Collines de Sous-Voûte-Chêne, la maison à côté de la cascade, où un gnome taille parfois des pierres.
| Sujet: Des fêtes Mer 29 Déc - 16:18 | |
| Voici quelques idées de « festivités » dans le sens où elles seraient susceptibles de marquer le calendrier pour marquer le coup de certains événements (ou par des événements) ; mais appelons cela des fêtes, puisque ça nous chante (« Lalala les fêêêêêteeeeu lalalala… »)
- La fête commémorative de la fondation de la guilde : Il semble y a voir différentes conditions à cette idée, car d’une part notre communauté était plus ou moins déjà soudée fin 2006, d’autre part il est indéniable que Tarlun a ramené son nom de guilde (que j’idolâtre évidemment, tellement il n’est pas à chier) après la sortie d’un jeu que nous connaissons bien… étant donné que Burning Crusade a du sortir vers janvier 2007, et qu’on a du créer la guilde une ou deux semaines après, si je ne m’abuse ! De plus, le forum est arrivé (avec les « réunions » comme on aime les faire, et toute l’organisation Donjon et Dragon) vers la fin du printemps, était-ce vers mai 2007 ?
Donc mon idée était de suggérer une date qui se rapporterait à début février (en dénombrant les jours, on l’assimilerait au calendrier, ce serait vers le milieu de Noctadon), mais on peut très bien penser à d’autres dates, sinon des jours, des périodes ! Qui se trouveraient peut-être entre novembre et mai ? Je m’en remets à vous !
- Le sacre-bouillon (les langues dansantes finiront par transformer l’appellation en « bouillon sacré », ce qui ne veut finalement rien dire !) : Un jour, ou une période, où ont lieu des rapports d’adoubements (privés ou publics), qui visent à l’expression d’une subjectivité enthousiaste et amicale : on peut sacrer quiconque personnellement comme détenteur, ou représentant, d’une qualité ou d’un défaut, d’une absurdité totale ou sincère. C’est une manière pour le rimeur (qui sacre) ou l’écoutant (qui reçoit le sacre) de blâmer l’autre ou de s’excuser, de le féliciter, de lui demander une faveur… Cet aspect solennel qui n’en est pas permet de créer un lien de fraternité et de sincérité, ou de n’importe quoi d’autre, tant qu’il écarte de la douleur et de la violence, ce qui est toujours plus agréable… D’autant que cette coutume voudrait que le rimeur (qui adoube), offre un présent à la personne qu’il sacre, comme une création (un objet précieux ou non, des denrées, une chanson…), mais d’habitude (haha, oui faisons comme si), c’est à boire que l’écoutant reçoit : il se relève de son sacre verre en main !
A vous de décider d’une date ou d’une période, si cette idée vous plaît !
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